mardi 2 mars 2010

Caractéristiques particulières du milieu (partie II)

Désolée pour ce long délai dans les messages; visites reçues, visites données et imprévus sont venus accaparer notre temps déjà compté.

Comme le disait un de mes collègues (natif du sud de l’Espagne – mon labo, c’est les Nations Unis, comme tous les labs de recherche ici) : « Have a great week-end in the cold room of the world! ». Et oui, nous sommes allé faire une visite éclair au Québec en fin de semaine passée. Avant cela, nous avons du aller faire un tour à l’aéroport corriger une erreur que les douaniers ont commis lors de l’entrée au pays de la Popo, ce qui me causa une certaine par de stress. Quand à Mec1, après ses aventures douanières, ça lui en prend plus que ça pour être stressé… Cependant c'est une chose de réglé, nous avons pu sortir et rentrer au pays sans encombre.

Nous avons donc visité famille et célébré multiples fêtes en agréables compagnies pendant deux courts jours. Ça fait étrange de dîner chez mon père un dimanche, comme je l’ai fait si souvent, et de revenir me coucher dans mon lit Bostonnais. C’est comme si rien n’avait changé, sauf que le retour à la maison est 5h plus long qu’il ne l’était…

Avec tout ça, je déroge du titre de l’article. Caractéristiques particulières du milieu? Allons-y dans les clichés. Lors du retour au bercail, nous avons dû nous arrêter pour souper en chemin. Notre bébé le plus patient au monde (ceci dit sans aucun sarcasme!) commençait à ressentir que nous avions dépassé son heure de souper de plusieurs dizaines de minutes, et voulait se dégourdir les jambes (parce qu’elle marche, maintenant). Sortie au hasard sur la 93 sud, tentative de trouver le moins pire restaurant, nous nous retrouvons chez Rosie (pizza, pâtes et calzones). Mec1 et moi, dû à l’abondance québécoise de croissants, gâteau et autre trucs introuvables ici, n’avions pas particulièrement faim. Alors dans l’optique de seulement grignoter ( et de choisir quelque chose de moindrement équilibré pour la Popo), nous prenons une salade du chef et un plat de penne/boulettes de viande grandeur « mama » du choix bambino, mama, godfather (!!). Eh bien, même si nous avions eu faim, les 2 plats auraient été amplement suffisant pour nous trois. Et je tiens à souligner que Popo a tout un appétit pour un bébé de 15 mois! Quel gaspillage… Les boulettes ont toutes été mangées, la salade à moitié, et il restait une quantité impressionnante de pâtes dans l’assiette. Bon appétit, poubelle! *soupir*

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